Les risques de la grossesse après 35 ans

Les femmes attendent de plus en plus pour avoir des enfants et ne réalisent souvent pas les risques de grossesse après 35 ans. Cela préoccupe les professionnels de la santé quant aux risques pour la mère et l’enfant.

Une étude récente menée par les Centers for Disease Control and Prevention indique que les taux de natalité chez les femmes âgées de 30 à 34 ans dépassaient ceux des femmes âgées de 25 à 29 ans. De plus, c’est quelque chose qui n’est pas arrivé depuis plus de trois décennies.

Cette tendance actuelle coïncide avec l’augmentation des naissances multiples et des malformations congénitales constatées dans le monde médical.

La raison n°1 pour laquelle les femmes attendent

Alors pourquoi les femmes attendent-elles si longtemps avant d’avoir des enfants et ne planifient-elles leur grossesse qu’après 35 ans? Surtout avec les facteurs de risque connus qui y sont associés? Des niveaux d’éducation plus élevés, des méthodes de contraception améliorées ainsi que des changements sociaux sont en partie responsables. Sans compter que les femmes veulent attendre plus longtemps pour fonder leur famille afin de pouvoir se concentrer sur leurs carrières.

Ces femmes sont qualifiées d’âge maternel avancé (AMA) ou de mères plus âgées. Elles estiment que ces termes ne sont pas fondés et que leur âge n’a aucun effet sur leur santé ni sur la santé de l’enfant. Ont-elles raison? Ou bien la communauté médicale a-t-elle raison de dire que les personnes de 35 ans et plus peuvent être trop âgées pour avoir un bébé?

Examinons quelques-uns des risques de retarder la grossesse jusqu’à l’âge de 35 ans ou plus :

Baisse de la fécondité

En vieillissant, la fécondité baisse rapidement à partir de 35 ans, ce qui pourrait compliquer la conception d’un enfant. Les femmes voient leur nombre d’ovules baisser et pour les hommes, le nombre de spermatozoïdes, la motilité et le volume de sperme.

Risques génétiques

Des recherches publiées dans le Journal of Physiology indique que certains risques génétiques sont présents pendant la grossesse à mesure que les femmes vieillissent. Ceux-ci peuvent inclure le syndrome de Down, l’autisme, des malformations congénitales physiques et plus encore.

Fausse couche

Le risque de fausse couche augmente avec l’âge des femmes. Le taux moyen de fausse couche passe de 8,9% chez les femmes âgées de 20 à 24 ans à plus de 74% chez les femmes âgées de 45 ans et plus. Ceci est le résultat de la dégradation de la qualité des ovocytes d’une femme.

Mortinatalité

La mortinatalité est deux fois plus fréquente chez les femmes âgées que chez les plus jeunes. De plus, ce nombre augmente si la femme de 35 ans ou plus a son premier enfant.

Complications liées à la grossesse

Les femmes âgées de 35 à 40 ans présentent davantage de complications liées à la grossesse que leurs homologues plus jeunes. Ces complications peuvent entraîner une césarienne d’urgence, une hémorragie post-partum, un diabète gestationnel et un placenta praevia. En outre, il existe également un risque de positionnement du bébé par le siège, de naissance prématurée, de faible poids à la naissance et de poids élevé à la naissance.

Accident vasculaire cérébral

Les femmes enceintes de 40 ans et plus courent un plus grand risque d’accident vasculaire cérébral ischémique, d’accident vasculaire cérébral hémorragique, de crise cardiaque et de décès par maladie cardiovasculaire. Ceci a été mis en évidence par des recherches présentées à la Conférence internationale sur les accidents cérébrovasculaires 2016 de l’American Stroke Association.

La communauté médicale sceptique

Bien que certains membres du corps médical soient opposés à cette idée, les statistiques montrent qu’il existe certains risques associés à l’accouchement à partir de 35 ans. Cependant, la plupart des femmes âgées de 35 ans et plus auront une grossesse normale avec très peu de complications à la naissance. Elles donneront également donner naissance à un bébé en bonne santé. Le meilleur conseil est de discuter avec votre médecin et de décider si attendre d’avoir un enfant est une bonne idée ou non.

Améliorez votre fertilité avec les micronutriments

Plusieurs micronutriments tels que vitamines, les vitaminoïdes, les acides aminés et les oligo-éléments se sont révélés efficaces pour améliorer la quantité, la mobilité et la forme des spermatozoïdes. Cela se traduit directement par une meilleure qualité globale des spermatozoïdes et donc par une chance plus élevée de grossesse.

UNE SUPPLÉMENTATION ALIMENTAIRE NATURELLE POUR HOMME EST

Relativement peu coûteuse
Efficace au bout de trois à six mois
Capable d’augmenter la motilité des spermatozoïdes jusqu’à 23%, le volume d’éjaculat jusqu’à 33% et le nombre de spermatozoïdes jusqu’à 215% ¹
Sans effets secondaires

Pour ces raisons, les compléments alimentaires pour la fertilité masculine sont très certainement recommandés comme première étape du traitement de l’oligospermie et de l’asthénospermie.

De plus, les hommes qui n’ont pas encore passé de test d’analyse du sperme tireront avantage de la supplémentation en micronutriments pour pouvoir délivrer un sperme de haute qualité..

Il n’ya pas de contre-indications ni d’effets secondaires à cette forme naturelle de “stimulation des spermatozoïdes”.

Vous trouverez un aperçu excellent et détaillé de nombreuses études dans Male Infertility: Nutritional and Environmental Considerations par Steven Sinclair .

Une gamme considérable de suppléments pour la fertilité masculine disponibles sur le marché français.

Cependant, les prix et la composition des produits diffèrent largement.

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Les nutriments les plus efficaces pour la fertilité masculine

Une multitude d’études ont montré que les nutriments fortement dosés ont un impact potentiellement significatif sur la qualité globale des spermatozoïdes.

L’acide aminé L-arginine s’est avéré augmenter le nombre et la motilité des spermatozoïdes ² ³
Un autre acide aminé, la L-carnitine a montré qu’il améliorait considérablement la concentration et la motilité des spermatozoïdes sur une période relativement courte de seulement 8 semaines ⁴ ⁵
La vitamine D améliore le nombre de spermatozoïdes, leur motilité et morphologie ⁶
La vitamine B9, mieux connue sous le nom d’acide folique a montré qu’elle permettait d’augmenter le nombre, la motilité et la morphologie ⁷
Le zinc améliore le système immunitaire et améliore considérablement le nombre de spermatozoïdes en combinaison avec l’acide folique ⁸
Le sélénium, en combinaison avec la vitamine E, s’est avéré améliorer la motilité ⁹ ¹⁰ ¹¹

POURQUOI LES NUTRIMENTS DOIVENT ÊTRE FOURNIS EN PERMANENCE

Les spermatozoïdes mettent 11 semaines à mûrir dans les testicules. Alors seulement, ils sont prêts pour l’éjaculation.
Si vous ajustez votre alimentation aujourd’hui, il faudra donc trois mois pour que de meilleurs spermatozoïdes soient prêts pour la fécondation.
Vous devez donc continuer votre régime ou votre consommation de suppléments de façon continue, idéalement jusqu’à ce que votre partenaire soit enceinte ou que vous décidiez d’un traitement différent.

Dans notre grand test, tous les suppléments pour la fertilité masculine incluent plusieurs de ces nutriments à la fois, mais à une dose inférieure. C’est un moyen économique et pratique de réaliser ce type de traitement de la fertilité. abordable et ne nécessitant que la prise d’un seul supplément tout-en-un au lieu de plusieurs.

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